Publié le 20/07/2011 à 14:34
Les cliniques de la mémoire sont spécialisées dans la rééducation des patients atteints de démence débutante, y compris l’Alzheimer. Le but: rester le plus longtemps possible à la maison.
Les troubles cognitifs liés à la maladie d’Alzheimer sont à l’origine d’une perte d’autonomie progressive mais certaine. D’où l’idée de proposer aux patients une prise en charge complète: du diagnostic à la prise en charge médicamenteuse, en passant par différentes aides (ergothérapeute ou assistante sociale) ou encore par la rééducation. Un service en place dans les différentes cliniques de la mémoire à travers le pays. Ces séances spécialisées reconnues par l’INAMI – et donc prises en charge par la Sécurité sociale – s’adressent à tout patient atteint d’une démence débutante.
Les consultations se déroulent en deux temps. Les premières séances ont pour but d’effectuer un premier bilan: scanner, tests neuropsychologiques… Ces différents examens permettent d’établir précisément quelles sont les aptitudes cognitives préservées ou perdues. Les spécialistes de la clinique pourront ensuite sur cette base proposer au patient Alzheimer des méthodes pour mieux vivre au quotidien.
Cette mission complexe ne serait pas possible sans l’aide d’une équipe multidisciplinaire. Au côté du médecin (neurologue ou gériatre par exemple), différents spécialistes participent aux consultations des cliniques de la mémoire.
Objectifs des cliniques de la mémoire: permettre au patient de conserver un maximum d'autonomie et le meilleur confort de vie possible. En bref, alléger le handicap lié à la maladie d’Alzheimer, et ainsi permettre au patient de rester le plus longtemps possible à domicile.
Douze cliniques de la mémoire sont reconnues par l’INAMI.
À Bruxelles:
En Flandre:
En Wallonie:
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