Récemment, vous avez commencé à avoir le nez qui coule, à tousser? Vous avez des difficultés à respirer? Ces symptômes peuvent faire craindre le Covid-19. Mais ils peuvent aussi être le signe que vos allergies sont de retour! En Belgique, la saison du pollen de bouleau bat son plein…
Les allergies ne donnent pas de fièvre ni de douleurs musculaires
Quelques éléments peuvent vous aider à les différencier:
- Les allergies ne donnent pas de fièvre ni de douleurs musculaires.
- Les yeux qui piquent et larmoient sont plutôt caractéristiques des allergies.
Si vous avez un doute, n’hésitez pas à appeler votre médecin généraliste.
Si vous êtes sujet aux allergies saisonnières, n’oubliez pas de prendre votre traitement de fond pour éviter d’être fragilisé aux infections respiratoires.
Source: Sciensano
Si vous ne cohabitez pas avec votre partenaire, le confinement peut vous empêcher de passer du temps l’un avec l’autre… Comment entretenir votre relation à distance? Voici 3 conseils!
1. Prévoyez des rendez-vous virtuels. Démarrez une conversation vidéo et cuisinez le même plat que vous mangerez ensuite «ensemble». Ou regardez la même série et échangez vos impressions. Le confinement ne vous empêche pas de partager des expériences communes. Soyez créatifs!
2. Envoyez-vous des preuves d’amour. Remettez la lettre (ou l’e-mail) d’amour au goût du jour. Si vous ne trouvez pas les mots: un doux petit SMS ou même un emoji cœur peuvent suffire. Autre idée: déposez-lui un cadeau sur le pas de sa porte ou faites-lui livrer.
3. Imaginez votre programme d’après-confinement. Retourner dans votre resto préféré, découvrir une nouvelle ville ensemble… Et pourquoi pas: cohabiter! Les projets communs, même petits, soudent un couple. Et ils vous permettront de visualiser la lumière au bout du tunnel.
Alors, votre cœur fait «boum»?
Source: Web MD
La crise sanitaire que nous traversons vous rend anxieux(se)? Voici quelques conseils pour vous aider à reprendre le dessus!
1. Parlez. Ne gardez pas votre mal-être pour vous. Exprimez votre ressenti à un proche qui pourra vous apporter son soutien. Faites-le par écrit, si c’est plus facile pour vous.
2. Déconnectez. Les actualités peuvent être anxiogènes. Limitez votre consommation d’infos à 30 à 60 min, 1 à 2 fois par jour, via des sources fiables.
Optez pour des activités qui vous font du bien!
3. Chouchoutez-vous. Optez pour des activités qui vous font du bien: prendre un bain moussant, faire de la pâtisserie, prendre l’air au jardin, danser sur votre musique préférée… A chacun ses petits plaisirs!
4. Consultez. Si votre mal-être est trop profond, franchissez le pas et contactez votre médecin ou un psychologue.
Source: Web MD
Le coronavirus pourrait également survivre sur des surfaces ou des objets contaminés. Des chercheurs ont pu déterminer la durée de survie du COVID-19 sur différentes matières:
Évitez de vous toucher le nez, les yeux, la bouche. Lavez-vous les mains régulièrement et nettoyez et désinfectez les surfaces qui auraient pu être exposées.
La présence du virus sur certaines surfaces pourrait donc être à l’origine de nouvelles infections. La prudence est bel et bien toujours de mise!
Évitez de vous toucher le nez, les yeux, la bouche. Lavez-vous les mains régulièrement et nettoyez et désinfectez les surfaces qui auraient pu être exposées. Utilisez pour ce faire, de préférence, une solution désinfectante (minimum 62% d’alcool) ou de la javel.
Source: NEJM
Agir pour limiter la propagation du coronavirus est l’affaire de tous! Comment? En appliquant ces gestes simples au quotidien:
1. Lavez-vous fréquemment les mains à l’eau et au savon, durant min 10 secondes. Si ce n’est pas possible, utilisez une solution hydroalcoolique. Ces deux méthodes permettent d’éliminer les bactéries, virus et champignons éventuellement présents sur votre peau.
2. Conservez au moins un mètre de distance avec les personnes qui vous entourent. Vous limiterez ainsi votre risque d’inhaler les gouttelettes qu’elles projettent et d’être contaminé par leur virus potentiel. Pensez-y si vous devez faire la file !
3. Ne vous touchez pas les yeux, le nez ainsi que la bouche. Ces zones de votre corps sont des portes d’entrée pour le virus. Évitez donc d’y apposer vos mains qui sont en contact avec toutes sortes de surfaces potentiellement contaminées.
Rester confiné est la meilleure des protections, à la fois pour vous mais aussi pour autrui.
4. Vous toussez et/ou éternuez? Couvrez-vous la bouche et le nez avec le pli du coude, ou utilisez un mouchoir que vous jetez immédiatement. De cette manière, vous bloquez la projection de gouttelettes afin de protéger les personnes autour de vous et vous ne contaminez pas vos mains.
5. En cas de fièvre, de toux et de difficultés respiratoires, téléphonez à votre médecin traitant et suivez ses instructions. Notez que rester confiné est la meilleure des protections, à la fois pour vous mais aussi pour autrui.
6. Si vous êtes malade, portez un masque en cas de contact avec d’autres personnes. Si vous ne l’êtes pas, cela n’est pas utile, à moins que vous ne soyez en contact régulier avec une personne malade.
7. Nettoyez et désinfectez toutes les surfaces que vous touchez quotidiennement: poignées de porte, interrupteurs, bureaux, téléphones, smartphones, matériel informatique, ustensiles de cuisine, robinets, éviers...
Sources : Organisation mondiale de la Santé, UNICEF, Centers for Disease Control and Prevention
Outre les symptômes habituels (fièvre, douleurs, musculaires, toux…), l’apparition brutale d’une perte d’odorat pourrait être un signe révélateur d’une infection au coronavirus. Cette perte d’odorat s’accompagne d’une perte d’une grande partie du goût. Elle pourrait par ailleurs être tout à fait spécifique à la maladie et apparaître même en l’absence d’autres symptômes ou de fièvre.
Une perte d’odorat pourrait être l’un des symptômes d’une infection au coronavirus.
Si vous présentez ce symptôme, prenez contact avec votre médecin.
Vous n’avez pas de masque sous la main ? Vous comptez en faire un vous-même ? Le SPF Santé le recommande ! Pour l’utiliser, suivez ces instructions :
Même si vous portez un masque, il est toujours important de :
Pour faire votre propre masque : https://faitesvotremasquebuccal.be/
Source: SPF Santé
À Wuhan, en Chine, le lait maternel de 6 femmes atteintes du coronavirus a été analysé. Résultat: aucun lait n’était contaminé par le virus.1 Si vous contractez le coronavirus alors que vous allaitez, soyez donc rassurée: votre lait n’est pas néfaste pour votre bébé. Au contraire! De nombreux composants du lait maternel en font un véritable bouclier immunitaire.2
Le lait maternel n’est pas contaminé par le coronavirus
Si votre état le permet, continuez-donc à nourrir votre enfant au sein. Cependant, il existe un risque de transmission du coronavirus si vous toussez, que vous éternuez ou que vos mains sont contaminées. Dès lors, lavez-vous consciencieusement les mains avant d’allaiter et portez un masque.
Sources:
Les symptômes les plus caractéristiques du coronavirus sont la fièvre, la fatigue ainsi qu’une toux sèche. Certaines personnes présentent également des maux de gorge, de tête, une diarrhée, des douleurs musculaires, un écoulement ou une congestion nasale. La plupart du temps ces symptômes sont bénins et apparaissent progressivement.
Si vous toussez, avez la fièvre ou des difficultés à respirer, consultez un médecin par téléphone!
Seule 1 personne sur 6 environ présente des symptômes plus graves, comme la dyspnée, c’est-à-dire des difficultés à respirer. Les personnes âgées et celles qui présentent déjà des soucis de santé (problèmes cardiaques, diabète, hypertension artérielle…) ou qui sont immunodéprimées ont plus de risques de présenter des symptômes graves.
Il arrive parfois que des personnes infectées se sentent bien et ne présentent aucun de ces symptômes.
Si vous toussez, avez de la fièvre ou des difficultés à respirer, consultez un médecin par téléphone!
Source: Organisation mondiale de la Santé, Institut Pasteur
Se laver les mains ou les désinfecter est essentiel pour limiter le risque de transmission du coronavirus. 40 à 60 secondes suffisent! Pour bien vous laver les mains, suivez ces 7 étapes.
1. Prenez une quantité suffisante de savon ou de solution hydro-alcoolique.
2. Frictionnez vos mains paume contre paume.
3. Frictionnez la paume de la main droite sur le dos de la main gauche et inversement.
4. Frictionnez paume contre paume avec les doigts entrelacés.
5. Frictionnez le dos des doigts en les tenant dans la paume de la main opposée avec un mouvement d'aller-retour latéral.
6. Frictionnez le pouce de la main gauche par rotation dans la paume droite fermée et vice versa.
7. Frictionnez le bout des doigts de la main droite par rotation contre la paume gauche et vice versa.
Et si le groupe sanguin influençait la probabilité de contracter le coronavirus? Une étude chinoise s’est penchée sur la question. Résultats: les personnes de groupe sanguin O auraient 33% de probabilité en moins de contracter le coronavirus. Les personnes de groupe sanguin A auraient quant à elles 20% de probabilité en plus de contracter ce virus. En cause? Les anticorps anti-A présents dans le groupe sanguin O (et B), et dont le groupe sanguin A est dépourvu, agiraient comme une protection naturelle contre le virus.
Quel que soit votre groupe sanguin, respectez les conseils d’hygiène destinés à freiner la propagation du virus.
De plus, le groupe sanguin O possède également des anticorps anti-B qui lui offrent une double protection contre le virus. Ces résultats doivent être confirmés par des études à plus grande échelle. Cependant, une étude française menée lors de l’épidémie liée au SRAS en 2003, allait déjà en ce sens. Néanmoins, quel que soit votre groupe sanguin, respectez les conseils d’hygiène destinés à freiner la propagation du virus.
Source: Jiao Zhao & al., Relationship between the ABO Blood Group and the COVID-19 Susceptibility, medRxiv, 16 mars 2020.
Les trois quarts des personnes décédées des suites du covid-19 au cours du dernier mois ont plus de 75 ans. 90% ont plus de 65 ans. Mais sur les 214 décès du covid survenus le mois dernier, 18 avaient également entre 45 et 64 ans, et 4 entre 25 et 44 ans. Les personnes âgées ne sont donc pas les seules à mourir. «Nous n'avons pas de statistiques détaillées à ce sujet, mais les jeunes qui meurent aujourd'hui présentent généralement de graves pathologies sous-jacentes», explique Steven Van Gucht. «Qu'une jeune personne vaccinée, dont l'immunité fonctionne bien, décède est tout à fait exceptionnel».
Les chiffres montrent que le covid tue proportionnellement plus de jeunes que d'autres maladies, comme la grippe ou la maladie d'Alzheimer, mais moins que le cancer. Les chiffres de la mortalité du covid sont très proches de ceux de la mortalité générale. Cela peut s'expliquer en partie par le fait que les statistiques sont moins transparentes. Dans le cas de la mortalité due à la maladie d'Alzheimer et au cancer, seules les personnes pour lesquelles la maladie était la principale cause de décès sont incluses. Ce n'est pas le cas avec le covid.
Pour déterminer le bénéfice des vaccins aux USA, des chercheurs ont créé un modèle informatique de transmission de la maladie intégrant des informations démographiques, les facteurs de risque de la population, la dynamique de l'infection et des informations générales sur la vaccination.
Leur étude révèle que sans les vaccins, les USA auraient connu 1,5 fois plus d'infections, 3,8 fois plus d'hospitalisations et 4,1 fois plus de décès (période décembre 2020 –novembre 2022). L'étude estime que la vaccination a également été un bon pari financier, permettant aux États-Unis d'économiser 1,15 milliard de dollars de frais médicaux.
Selon Mme Galvani, directrice fondatrice du Yale Center for Infectious Disease Modeling and Analysis: «À l'avenir, une accélération de la mise en place du nouveau rappel sera fondamentale pour éviter les hospitalisations et les décès futurs.» Près de 658 millions de vaccins Covid-19 ont été administrés aux États-Unis. Cependant, peu de rappels sont administrés, et seulement 14% de la population éligible ont reçu un booster. Une personne sur cinq aux États-Unis n'est toujours pas vaccinée.
Source: https://edition.cnn.com/2022/12/13/health/covid-19-vaccines-study/index.html
"Nous avons affaire à une population largement vaccinée et boostée et le grand nombre de personnes qui ont été infectées apporte une immunité supplémentaire", explique le biostatisticien Geert Molenberghs dans Het Laatste Nieuws.
"Nous pouvons être optimistes. Nous ne pouvons rien dire avec 100% de certitude, mais, sauf circonstances particulières, nous pourrions passer en code jaune dès le mois de mars." Le Pr Molenberghs souligne toutefois que cela suppose qu'il n'y ait pas de problème majeur dans les hôpitaux dû au variant Omicron BA2.
Cette couleur jaune prometteuse entraînera beaucoup moins de restrictions. Pour les événements intérieurs et extérieurs, il n'y a plus de limites de capacité dans ce code couleur. Le CST est abandonné et les masques buccaux ne sont plus nécessaires pour le personnel. En mars, nous pourrions donc être beaucoup plus libres, même si Molenberghs souligne le caractère conditionnel de cette prédiction : "Plus nous regardons vers l'avenir, plus c'est incertain, mais le code jaune en mars est une chose réaliste."
"Il est très encourageant de constater que le nombre d'admissions en soins intensifs diminue alors que la circulation du virus n'a jamais été aussi élevée", déclare le virologue Steven Van Gucht (Sciensano) dans De Morgen.
Le pic était prévu à peu près maintenant, mais il sera un peu plus tard. "Il n'y a aucune raison de penser que notre courbe ne suivra pas celle du Danemark et de la Grande-Bretagne ; cette baisse est donc à venir", déclare le virologue Marc Van Ranst (KU Leuven).
Mais pour l'instant, le nombre d'infections et d'admissions à l'hôpital continue d'augmenter. Cela signifie une situation encore instable qui crée des problèmes pratiques.
"Pas moins de 70 % des patients hospitalisés pour une autre maladie sont infectés par le covid. C'est énorme. Cela pèse sur les hôpitaux, car ces personnes ont besoin de lits séparés ou leurs opérations doivent être reportées", explique M. Van Gucht. "Et nous constatons une diminution aux soins intensifs, mais le nombre total de patients qui s'y trouvent est encore trop élevé. Elle doit descendre en dessous de 300 pour que les hôpitaux fonctionnent à nouveau normalement. Maintenant, il est toujours autour de quatre cents."
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