Publié le 23/02/2011 à 23:12
Prendre soin d'un proche souffrant de la maladie d'Alzheimer est un travail à temps plein. Pour souffler, des solutions existent.
S'occuper d'un patient Alzheimer est un travail éprouvant tant physiquement que psychologiquement. Les proches doivent notamment faire le deuil de la personne qu'ils ont connue et accepter de voir sa personnalité changer. Face à cette situation, de nombreux aidants-proches ressentent le besoin de souffler ou tout simplement de s'accorder un peu de temps. Pour le leur permettre, des formes de répit existent.
Même s'il est parfois difficile de laisser une personne extérieure intervenir, l'aide à domicile est une bonne solution pour soulager quelque peu la charge de travail de l'aidant-proche. Il en existe de nombreux types: garde à domicile, ergothérapeute, infirmière...
Certaines associations comme Alzheimer Belgique proposent des ateliers d'art-thérapie ou de psychomotricité. Le temps d'une après-midi, les patients Alzheimer peuvent s'exprimer et (re)découvrir leurs capacités pendant que leurs proches se consacrent à d'autres tâches.
Autre forme de répit, les centres de jour permettent de retarder le placement définitif en institution. Les patients Alzheimer y sont accueillis et suivis pendant une journée afin de permettre aux proches de souffler. Il existe également des centres de nuit qui peuvent héberger le patient lorsque les troubles liés au sommeil deviennent problématiques pour le conjoint.
Certains préfèrent que le patient reste dans son environnement familier. Dans ce cas, l'Asbl Baluchon Alzheimer peut constituer une bonne solution. Pendant une semaine ou plus, 'un baluchonneur' s'installe chez le patient et s'occupe de lui. L'aidant-proche peut alors se reposer quelques jours.
Vous cherchez plus d'informations? Des associations comme Alzheimer Belgique ou la Ligue Alzheimer peuvent vous orienter vers la formule la mieux adaptée à votre demande et à vos besoins.
Partager et imprimer cet article
Une concentration élevée d'homocystéine est considérée comme un facteur de risque cardiovasculaire. Elle est également suspectée, depuis quelques années, d'être étroite...
Lire la suiteL'expérience en question portait sur des souris chez qui les scientifiques avaient la possibilité de déclencher une démence dégénérative par...
Lire la suiteIls sont pour la plupart parfaitement intégrés en Belgique et ont souvent vécu plusieurs années sur notre sol. Pourtant, certains immigrés maîtrisent mal le français ou l...
Lire la suiteOn le sait, le diagnostic de la maladie d’Alzheimer ne repose sur aucun examen sanguin ou radiologique… Ce sont avant tout les symptômes du patien...
Lire la suiteCe test pourrait constituer une nouvelle avancée dans la détection précoce de la maladie d'Alzheimer, la forme la plus courante de démence. Un médicament qui ralentit la...
Lire la suiteEntre 2004 et 2019, la démence s’est progressivement hissée parmi les causes de décès les plus importantes en Belgique. C’est ce qui ressort de nouvelles analyses de l’in...
Lire la suitePierre Missotten, chercheur en psychologie de la sénescence à l’ULg
Paco Roca, auteur et dessinateur de la bande dessinée «Rides»
Michelle Thomas, responsable des bénévoles chez Alzheimer Belgique.
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive