Au quotidien

Apprenez à reconnaître les signes avant-coureurs

Un sentiment d'oppression dans la poitrine, une respiration sifflante, un manque de souffle, de l'agitation. Si le patient apprend à mieux reconnaître ces symptômes, il peut voir arriver la crise et mieux la contrôler en prenant à temps ses médicaments.

Mesurer c'est savoir

Afin d'évaluer avec précision la gravité d'une crise d'asthme, le patient peut recourir à un débitmètre de pointe. La comparaison entre le débit de pointe et la valeur de référence lui donnera une idée de la sévérité de la crise. Mais, on ne dispose pas toujours d'un débitmètre de pointe.
Ensuite, le patient prendra son broncho-dilatateur. Si nécessaire il inhalera plusieurs fois de suite: la première heure, toutes les vingt minutes deux à quatre pufs successivement. En même temps, le patient prendra un anti-inflammatoire. Si la gêne reste importante, il vaut mieux que le patient contacte son médecin généraliste ou les services d'urgence via le numéro 112.

Anxiété et stress

Une crise d'asthme peut stresser les patients et les rendre anxieux. Le stress en soi ne peut pas déclencher une crise d'asthme, l'anxiété oui dans certains cas. Quoi qu'il en soit, ils peuvent tous les deux aggraver les symptômes. Essayez dès lors de maîtriser l'une ou l'autre technique de gestion du stress et de l'anxiété qui vous permettra de mieux les contrôler.