"La première fois que ma fille est rentrée à la maison avec un petit mot disant qu'on soupçonnait la présence de poux à l'école, j'avoue que j'ai un peu paniqué. Je me voyais déjà lui raser la tête! Mais j'ai repris mes esprits et je suis allée me renseigner auprès de mon pharmacien. Celui-ci m'a proposé un shampoing anti-poux, plus simple à appliquer qu'un spray et m'a bien expliqué les précautions d'usage."
"Avec le temps et les nombreuses pédiculoses que mes enfants ont connues, je deviens une experte en la matière. J'ai testé de nombreux produits et j'ai suivi l'apparition de nouveaux traitements sur le marché. Pour l'instant, je privilégie les shampooings qui asphyxient le pou, j'ai l'impression qu'ils sont moins irritants pour mes enfants. Et, évidemment, quand les poux montrent leur nez, interdiction de partager les bonnets, les barrettes à cheveux et les casques des MP3!"
"Lorsque je suspecte la présence de poux, souvent à cause de démangeaisons répétées, je sollicite avant tout l'aide de la médecine scolaire. A ma demande, le médecin et/ou l'infirmière affectés à l'école viennent examiner scrupuleusement l'enfant chez qui on soupçonne une pédiculose, ainsi que tous ses petits camarades de classe. Pour les enfants chez qui on détecte clairement la présence de poux ou de lentes, on glisse un petit mot dans le journal de classe demandant d'effectuer un traitement."
"Les directives gouvernementales nous interdisent -sauf rares exceptions- d'exclure les enfants porteurs de poux. Et c'est très bien comme cela! Nous veillons d'ailleurs bien à ne jamais les stigmatiser. Cependant, je regrette parfois que les parents ne soient pas tous coopératifs. Certains réagissent immédiatement mais d'autres prennent les choses à la légère et l'épidémie met parfois de longues semaines avant de s'éteindre!"
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