La Belgique dispose d’une loi sur le prélèvement et la transplantation d’organes ou de tissus à des fins thérapeutiques. Celle-ci est basée sur le consentement implicite ou présumé, dit «Opting Out» ou «Qui ne dit mot consent». Selon l’esprit de cette loi, toute personne n’ayant pas manifesté d’opposition au prélèvement de ses organes après sa mort est en accord avec cette pratique.
Le médecin qui est en charge d'effectuer un prélèvement d’organes doit impérativement s'informer de l'existence d'une opposition ou pas par rapport au don d’organes, exprimée par le donneur potentiel. Pour ce faire, il consulte le Registre National, via le Centre de Transplantation avec lequel son hôpital collabore, lui-même en lien avec Eurotransplant. Si le Registre National ne contient aucune information, le prélèvement d’organe peut être envisagé.
Une personne peut faire don de ses organes, suite à:
Il est possible de faire don d’un organe, ou d’une partie d’organe, de son vivant. Cela concerne essentiellement:
La condition est que ce don n'ait pas d'impact négatif sur la santé à long terme du donneur. De plus, ce dernier doit être majeur et être un membre de la famille, un proche du receveur ou une personne avec un lien émotionnel étroit.
Quelques astuces peuvent vous aider à mettre toutes les chances de votre côté pour bien prendre votre traitement immunosuppresseur après une greffe. Découvrez comment lim...
Lire la suiteBien prendre ses médicaments immunosuppresseur est indispensable après une transplantation d’organe. Le traitement immunosuppresseur permet de limiter le risque de rejet,...
Lire la suiteVincent, 62 ans
Bruno Desschans, coordinateur de transplantation à l’UZ Leuven
Lucien, 67 ans
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive