Il est évident que la dialyse implique de lourdes contraintes. La fréquence des séances est souvent vécue comme une entrave à la liberté. Malgré tout, la majorité des patients s'en accommode. Celui qui parvient à voir le bon côté des choses acceptera plus facilement le traitement: la période d'insécurité précédant la dialyse est bel et bien passée, la vie peut reprendre son cours et des projets sont à nouveau envisageables. Enfin, pour les patients en attente d'une greffe, l'étape de la dialyse est synonyme d'espoir.
Mener une vie sociale normale peut paraître impossible pour un patient sous dialyse. Pourtant, dans la pratique, ce n'est pas forcément le cas. Les liens avec le ou la partenaire, la famille et les proches se trouvent souvent renforcés par l'épreuve de la maladie. Les conjoints doivent cependant être attentifs à ne pas adopter des schémas de rôles incorrects, en se conduisant en parents vis-à-vis d'un patient infantilisé. S'informer sur ce type d'attitude et en prendre conscience permet de réagir à temps et de donner une autre tournure à la relation.
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Bruno Woitrin, Président de l'AIRG Belgique
Tatiana Diakun, infirmière spécialisée dans la dialyse péritonéale
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive