La scintigraphie à l’iode radioactif fait appel à un composant radioactif (appelé isotope) afin de mettre en évidence un organe. Cet examen consiste à injecter au patient un produit radioactif (iode-123) en très petite quantité par voie intraveineuse. Ce produit vient se fixer au niveau de la thyroïde pour mettre en évidence les nodules.
Le patient est allongé sur le dos et les clichés sont recueillis grâce à une caméra fixée au-dessus de lui (gamma-camera) qui enregistre les rayonnements émis par le produit radioactif.
Les clichés permettent de déterminer si les nodules sont froids (c’est-à-dire qu’ils absorbent moins l’iode et sont donc moins actifs que le reste de la thyroïde) ou chauds (c’est-à-dire plus actifs que le reste de la thyroïde). Les nodules chauds sont habituellement bénins, tandis que certains nodules froids peuvent être cancéreux.
Le même examen peut aussi être réalisé avec un autre isotope radioactif, le technétium-99m. Ces examens délivrent une très faible dose de rayonnements mais sont contrindiqués pendant la grossesse et l’allaitement.
La tomodensitométrie fait appel à des appareils radiographiques particuliers qui produisent des images en 3D et en coupes des organes, tissus, os et vaisseaux sanguins du corps. Elle permet de:
Un scanner ou une IRM peuvent également être prescrits pour évaluer si le cancer de la thyroïde s’est étendu, mais ces examens ne font pas partie du bilan nécessaire dans tous les cas.
La distinction entre un kyste bénin et une tumeur maligne n’est pas toujours évidente: sur une image CT (rayons X), kystes et tumeurs peuvent sembler très similaires. Cet...
Lire la suiteCette approche repose sur l'identification de néoantigènes, des protéines spécifiques qui apparaissent lorsque des cellules normales deviennent cancéreuses à la suite de...
Lire la suiteVRTNWS s'est rendu à la Journée contre le cancer pour jeter un coup d'œil à l'hôpital universitaire d'Anvers, qui travaille assidûment à une avancée : «C'est prometteur,...
Lire la suiteL’exposition à un rayonnement ionisant est le plus grand facteur de risque du cancer de la thyroïde. Plus quelqu’un est exposé à un jeune âg...
Lire la suitePr François Jamar, chef de service de Médecine nucléaire aux Cliniques universitaires Saint-Luc.
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive