Bien que le cancer du poumon soit une maladie potentiellement mortelle, il ne faut certainement pas perdre courage si ce type de cancer est diagnostiqué. Le traitement s'est considérablement amélioré au cours de ces dernières années, et continue à progresser. Outre les nouveaux médicaments, les traitements chirurgicaux, la chimiothérapie et la radiothérapie sont également devenus nettement plus efficaces.
Sur le plan statistique, on part du principe qu'en l'absence de récidive pendant cinq ans, le patient est guéri. Le pronostic fait référence aux chances de survie et est calculé sur la base des chiffres de survie moyens. Chaque patient étant différent, la survie peut varier fortement d'un patient à l'autre.
Grâce à un meilleur dépistage et aux progrès réalisés dans les traitements combinés, près de 20% des patients atteints d'un cancer du poumon guérissent.
Article réalisé avec la collaboration du Pr Dr Johan Vansteenkiste, oncologie respiratoire, UZ Gasthuisberg
Si le cancer devient incurable, le traitement vise à atténuer les souffrances: c'est ce que l'on appelle le traitement palliatif. En phase terminale, le patient peut présenter des plaintes de natures diverses, et les soins médicaux doivent viser à rendre la fin de vie la plus confortable possible. Lorsque la douleur est omniprésente, l'administration de morphine - un analgésique puissant - est la règle.
S'il s'agit d'un cancer incurable, le patient et son entourage doivent se faire à cette terrible idée. Ce processus est très difficile. Vivre avec l'idée d'une mort imminente suscite de nombreuses émotions: incrédulité d'abord, puis révolte, regrets, et finalement acceptation de l'inévitable. Le conjoint du patient, les membres de sa famille, le médecin de famille, le pneumologue, les infirmiers et le service des soins palliatifs de la clinique d'oncologie peuvent tous contribuer à ce que cette phase finale se déroule de manière optimale. Heureusement, il existe de nos jours de nombreuses possibilités en matière d'aide psychosociale, de soins palliatifs à domicile et d'accompagnement.
Au stade terminal de la maladie, le patient est souvent traité à domicile, dans son environnement familier.
Article réalisé avec la collaboration du Pr Dr Johan Vansteenkiste, oncologie respiratoire, UZ Gasthuisberg
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Pr Dr Johan Vansteenkiste, oncologie respiratoire, UZ Gasthuisberg
Nathalie, 45 ans
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