Comprendre comment fonctionnent les mécanismes sous-jacents au développement de l'obésité infantile au niveau moléculaire peut contribuer à identifier des approches d'intervention ciblées pour la prévenir, et clarifier les liens entre l'obésité et les maladies métaboliques (au niveau moléculaire).
Dans ce contexte, la métabolomique (l’étude des petites molécules présentes dans un tissu, une cellule, un organe ou un organisme) peut améliorer la compréhension de certains phénomènes biologiques. L'alimentation, l'activité physique, le microbiome (communauté de micro-organismes qui habite dans un endroit défini comme la bouche, les intestins ou la peau…) et les toxines y jouent un rôle(8). 41 publications ont récemment mis en évidence un profil type de l'obésité infantile. Des recherches complémentaires sont nécessaires pour identifier ou affiner ces profils et étudier leur association avec le risque de développer un surpoids voire de l’obésité(8).
Les enfants en surpoids et obèses sont beaucoup plus susceptibles de devenir obèses à l'âge adulte que les enfants ayant un IMC normal, et il est plus difficile pour ces adultes de perdre l'excès de poids par la suite. Pour gérer la crise de santé publique croissante causée par l'augmentation de la prévalence de l'obésité infantile, il est essentiel de disposer d'options de traitement efficaces et bien étudiées. En ce qui concerne les enfants, le nombre de thérapies potentielles et les recherches sont insuffisantes par rapport aux traitements disponibles pour les adultes atteints d'obésité(9). La prévention de l'obésité infantile est donc primordiale.
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