Le mot agoniste pourrait être traduit par «agit comme». Les agonistes dopaminergiques ne sont pas de la dopamine, mais ils se lient aux neurones du cerveau comme s'ils étaient de la dopamine. Leur action sur les neurones cérébraux est plus longue que celle de la levodopa et permet donc de diminuer le risque de survenue de certains effets secondaires tels que les dyskinésies (mouvements anormaux involontaires).
Il n'existe pas un traitement standard de la maladie de Parkinson. C'est le médecin, en fonction de chaque patient qui décide du traitement et des doses administrées. Les agonistes dopaminergiques sont généralement utilisés seuls, en début de traitement, chez des patients jeunes, peu handicapés, chez qui on veut retarder l'administration de levodopa et les effets secondaires qui y sont liés. Ils peuvent être également prescrits en association avec la levodopa pour augmenter l'efficacité du traitement.
Il faut garder en tête que, dans tous les cas, les agonistes dopaminergiques agissent plus lentement et moins efficacement que la levodopa qui reste la clé de voûte du traitement de la maladie de Parkinson.
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Flore Bellefontaine, accompagnatrice psychosociale à l’Association Parkinson
Jean-Pierre Vandenberk, parkinsonien et concepteur d’un pilulier minuteur
Greffe d'organes
Insomnie
Lymphomes
Maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI)
Oeil infecté, irrité ou sec
Sclérose en plaques
Soins de plaies
Syndrome du grêle court (SGC)