L'acétate de glatiramère est un mélange de petits morceaux de protéines, des peptides qui ressemblent à la myéline. Injectés quotidiennement (Copaxone® 20 mg/ml) ou tous les trois jours (Copaxone® 40 mg/ml) par voie sous-cutanée, ils induisent une certaine tolérance du système immunitaire vis-à-vis de la myéline et réduisent ainsi la fréquence des poussées.
La Copaxone® 20 mg/ml est injectée quotidiennement. Une nouvelle version de ce médicament – la Copaxone® 40 mg/ml - permet de diminuer de moitié la fréquence des injections (trois par semaine au lieu d’une par jour).
Contrairement aux interférons, l’injection de Copaxone ne provoque pas de syndrome pseudo-grippal. Le point d’injection peut rester douloureux, rouge et gonflé pendant quelques jours, mais ces effets secondaires sont aussi très variables d’un patient à l’autre. Rarement, le patient peut ressentir peu après son injection un malaise consistant en une oppression thoracique parfois angoissante. Ce malaise est bénin et cède en quelques minutes au repos.
Sans traitement, 50% des personnes souffrant de sclérose en plaques présentent des difficultés visibles à la marche après 15 ans d’évolution. L’autre moitié des patients...
Lire la suiteIl n’existe pas une mais de multiples raisons de présenter des problèmes de marche lorsque l’on souffre de scl...
Lire la suiteEn préambule, ce paradoxe: la sclérose en plaques (SEP) est généralement diagnostiquée chez des personnes «jeunes» (entre 20 et 40 ans). Or, la grande majorité des a...
Lire la suiteLes personnes atteintes de sclérose en plaques peuvent souffrir de douleurs. Mais celles-ci ne sont pas nécessairement toutes provoquées...
Lire la suiteFourmillements dans un membre, troubles de la vue, perte de force ou de sensibilité… S’agit-il d’une poussée inflammatoire? Quelques critères doivent être présents.
Lire la suiteLe slogan de la campagne est "I Connect, We Connect" et le hashtag de la campagne est #MSConnections. MS Connections s'attaque aux barrières sociales qui font que les per...
Lire la suiteLe Pr Souraya El Sankari (Service de neurologie, Cliniques Universitaires St-Luc) revient sur l’importance du diagnostic pour la bonne prise en charge de la sclérose en plaques.
Dr Danny Decoo, neurologue, AZ Alma
Joyce, 44 ans
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive