Tout comme la mitoxantrone, le cyclophosphasmide est un puissant immunosuppresseur qui agit en interférant avec la multiplication et la fonction de certains globules blancs. Il est réservé aux formes particulièrement agressives de la maladie ayant résisté aux autres traitements. Le cyclophosphamide peut non seulement freiner significativement la progression de la sclérose en plaques mais aussi parfois permettre une récupération partielle des derniers déficits apparus. Pour atteindre cet objectif, des doses importantes sont nécessaires. Le traitement peut alors induire une chute importante du nombre de globules blancs.
Dans tous les cas, les effets secondaires sont ceux d'une chimiothérapie c'est-à-dire:
Plus spécifiquement, le cyclosphosphamide peut induire une inflammation de la vessie responsable d'hémorragies. Sa toxicité le réserve aux formes particulièrement agressives de sclérose en plaques.
La sclérose en plaques (SEP) touche 12.000 personnes en Belgique, principalement les femmes. Cette maladie neurologique chronique est causée par un dysfonctionnement du...
Lire la suiteFourmillements dans un membre, troubles de la vue, perte de force ou de sensibilité… S’agit-il d’une poussée inflammatoire? Quelques critères doivent être présents.
Lire la suiteLe slogan de la campagne est "I Connect, We Connect" et le hashtag de la campagne est #MSConnections. MS Connections s'attaque aux barrières sociales qui font que les per...
Lire la suiteLe Pr Souraya El Sankari (Service de neurologie, Cliniques Universitaires St-Luc) revient sur l’importance du diagnostic pour la bonne prise en charge de la sclérose en plaques.
Dr Danny Decoo, neurologue, AZ Alma
Joyce, 44 ans
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive