Publié le 28/08/2024 à 22:05
L'analyse a porté sur 75.629 participants qui ont dû porter un dispositif pour mesurer leur activité pendant une semaine. Ils ont été répartis en trois catégories:
Sur une période médiane de 8,4 ans, 530 personnes ont reçu un diagnostic de démence, 1.468 un diagnostic d'AVC, 319 un diagnostic de maladie de Parkinson, 1.507 un diagnostic de dépression, 1.794 un diagnostic d'anxiété et 18 un diagnostic de trouble bipolaire. Par rapport aux personnes considérées comme inactives, les «guerriers du week-end» présentaient un risque plus faible de démence, d'AVC, de maladie de Parkinson, de dépression et d'anxiété. Les chercheurs ont également constaté que les personnes qui pratiquaient une forme d'exercice physique régulier, quel que soit le type d'activité, présentaient un risque plus faible de démence, d'anxiété et de dépression que les personnes du groupe inactif.
Une alternative dans les stratégies d'intervention préventive en matière de santé cérébrale?Enfin, les données ont également montré que le modèle du «guerrier du week-end» était associé à des risques de démence, d'AVC, de maladie de Parkinson, de troubles dépressifs et d'anxiété, similaires à ceux du modèle d’activité régulière. Ces résultats soulignent que le modèle du «guerrier du week-end» est une alternative potentielle dans les stratégies d'intervention préventive, en particulier pour les personnes incapables de maintenir des routines d'activité quotidienne. Une nouvelle démonstration des bienfaits du sport sur la santé!
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