Une augmentation du volume de la prostate (hypertrophie) peut être de nature bénigne ou maligne. Une hypertrophie bénigne de la prostate se développe sous l’effet des hormones mâles. Elle ne met pas la vie en danger et ne s’étend pas à d’autres parties du corps. La plupart des hommes de plus de 50 ans présentent des symptômes d’hypertrophie bénigne de la prostate.
Dans le cancer de la prostate, les cellules prostatiques cancéreuses se multiplient de manière excessive, sans contrôle. Un amas de cellules cancéreuses se développe dans la prostate: c'est la tumeur. Contrairement à l’hypertrophie bénigne de la prostate, le cancer de la prostate peut menacer le pronostic vital et migrer vers d’autres parties du corps, principalement vers les os et les ganglions lymphatiques. On parle alors de métastases.
Troubles de l’humeur, fatigue, troubles de l’érection, prise de poids, perte de masse musculaire, bouffées de chaleur, taux de cholestérol et de glycémie en hausse et ostéoporose…...
Lire la suiteL’ablation chirurgicale de la prostate (prostatectomie totale) constitue le traitement de référence du cancer de la pr...
Lire la suiteEn premier lieu dans les ganglions lymphatiques du bassin et dans les os, surtout la colonne vertébra...
Lire la suiteUne équipe de chercheurs italiens s'est intéressée au potentiel du légendaire flair des chiens(1). Leur hypothèse: moyennant un dressage spécifique, ces animaux seraient capables d...
Lire la suiteLa chimiothérapie regroupe l’ensemble des médicaments dont le mécanisme d’action permet d’obtenir une destruction des cellules en cours de multip...
Lire la suiteLes causes précises du cancer de la prostate ne sont pas connues. Les études ont toutefois mis en évidence plusieurs facteurs de risque.
L’âge est le principal f...
Lire la suiteEntre l’apparition des premiers signes d’un cancer de la prostate (cellules précancéreuses) et la survenue éventuelle de métastases osseuses, un délai de vingt à trente ans peut s’...
Lire la suiteComme d’autres cancers, le cancer de la prostate peut parfois présenter une évolution très agressive. Toutefois, dans la plupart des cas, son évolution est lente. Un délai de dix a...
Lire la suiteL’hormonothérapie par des agonistes et antagonistes de la LHRH provoque un certain nombre d’effets secondaires.
Les hormones mâles, comme la testostérone, régulent un phénomène naturel de croissance et de destruction des cellules prostatiques. Lorsque ce p...
Lire la suitePr Roumeguère, spécialiste en onco-urologie à l’Hôpital Erasme
Pr Patrick Flamen, chef du service de Médecine nucléaire (Institut Jules Bordet)
Dr Antonio Renda, urologue au Grand Hôpital de Charleroi (GHdC)
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