Entre l’apparition des premiers signes d’un cancer de la prostate (cellules précancéreuses) et la survenue éventuelle de métastases osseuses, un délai de vingt à trente ans peut s’écouler. La vitesse à laquelle les différents stades du cancer se succèdent varie d’un patient à l’autre. Le stade et l’évolution supposée du cancer déterminent les options thérapeutiques:
Les cellules précancéreuses peuvent se développer vers l’âge de 30 à 40 ans. À ce stade, le cancer de la prostate n'est pas encore détectable.
La tumeur reste limitée à la prostate. La prise en charge thérapeutique consiste en un suivi actif ou en un traitement actif (chirurgie ou radiothérapie).
La tumeur s’est étendue à l’extérieur de la capsule de la prostate, mais il n’y a pas de métastases. La prise en charge thérapeutique consiste souvent en un traitement combiné (chirurgie, éventuellement suivie d’une radiothérapie, ou radiothérapie associée à un traitement hormonal).
La tumeur a migré vers d’autres organes, le plus souvent vers les os. À ce stade, la prise en charge passe par un traitement hormonal de longue durée.
Lorsque le cancer ne répond plus au traitement hormonal, la chimiothérapie peut être utilisée pour ralentir la croissance de la tumeur et limiter les douleurs.
Les oncologues parlent dans The Guardian des mesures quotidiennes simples et concrètes qu'ils prennent pour prévenir le cancer.
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme, il touche actuellement 1 homme sur 10 en Belgique. Grâce à l’expertise des équipes multidisciplinair...
Lire la suiteLa technologie de l'ARNm... Une technologie révolutionnaire qui, selon la biologiste clinique Isabel Reloux-Roels (UZ Gent), peut être réutilisée lors de futures pandémie...
Lire la suiteTroubles de l’humeur, fatigue, troubles de l’érection, prise de poids, perte de masse musculaire, bouffées de chaleur, taux de cholestérol et de glycémie en hausse et ost...
Lire la suiteVRTNWS s'est rendu à la Journée contre le cancer pour jeter un coup d'œil à l'hôpital universitaire d'Anvers, qui travaille assidûment à une avancée : «C'est prometteur,...
Lire la suiteLa répartition de la graisse dans le corps peut influencer la santé sur le long terme.
Ainsi, selon une étude, chez les hommes la graisse abdominale ainsi que celle logé...
Pr Roumeguère, spécialiste en onco-urologie à l’Hôpital Erasme
Pr Patrick Flamen, chef du service de Médecine nucléaire (Institut Jules Bordet)
Dr Antonio Renda, urologue au Grand Hôpital de Charleroi (GHdC)
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive