Des formes à longue durée d'action vont faire leur apparition en 2015 pour les traitements de fond injectables. Ces produits permettront de diminuer la fréquence des injections: une toute les deux semaines pour les interférons bêta et trois par semaine au lieu d'une tous les jours pour l'acétate de glatiramère.
Les fameuses cellules souches dont la presse nous parle à plus soif n'ont toujours pas montré leur efficacité chez l'homme.
L'avenir réside probablement dans l'utilisation de l'immunothérapie spécifique. Cette technique consisterait à rendre notre système immunitaire tolérant aux différents composants de la myéline qu'il perçoit, dans la sclérose en plaques, comme cibles ennemies à détruire.
Si elle arrive un jour, la vaccination contre un éventuel agent causal ou son éradication ne permettra que d'empêcher le développement de la sclérose en plaques chez de nouveaux patients mais pas de guérir les millions de patients déjà atteints.
Arrivée de nouveaux médicaments, amélioration de la prise en charge de l’activité inflammatoire de la maladie... Les progrès thérapeutiques se multiplient depuis quelques années, portés notamment par le génie génétique. Dans la foulée, les bénéfices d’un traitement efficace préconisé dès le début de la prise en charge, à long terme, semblent définitivement avérés. Ce traitement précoce doit être accompagné d’une prise en charge multidisciplinaire et personnalisée en vue de stabiliser la maladie aussitôt que possible.
Les études révèlent, parmi les nouveaux médicaments développés, l’action qu’aurait l’un de ceux-ci non seulement contre la dégénération des neurones, mais aussi en faveur de leur remyélinisation. Administré par voie orale, celui-ci pourrait offrir de beaux espoirs pour les formes de sclérose en plaques secondaire progressive.
Schématiquement, on peut distinguer les traitements de la sclérose en plaques (SEP) dits «de première ligne» de ceux de «deuxième ligne» ou de «haute efficacité». Ces d...
Lire la suiteLes spécialistes peuvent évaluer la réversibilité des symptômes de la sclérose en plaques (SEP) en fonction de la forme de la maladie (à poussées ou progressive) et du mo...
Lire la suiteOn parle de spasticité ou d’«hypertonie» quand les muscles sont tendus, contractés. La spasticité provoque des douleurs et limite les mouvements du membre touché, parfois...
Lire la suiteLe terme «microbiote» désigne l’ensemble des micro-organismes (virus, bactéries, champignons…) qui cohabitent dans notre organisme, et en particulier dans nos intestins....
Lire la suiteFourmillements dans un membre, troubles de la vue, perte de force ou de sensibilité… S’agit-il d’une poussée inflammatoire? Quelques critères doivent être présents.
Lire la suiteLe slogan de la campagne est "I Connect, We Connect" et le hashtag de la campagne est #MSConnections. MS Connections s'attaque aux barrières sociales qui font que les per...
Lire la suiteLe Pr Souraya El Sankari (Service de neurologie, Cliniques Universitaires St-Luc) revient sur l’importance du diagnostic pour la bonne prise en charge de la sclérose en plaques.
Dr Danny Decoo, neurologue, AZ Alma
Joyce, 44 ans
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive