La lipodystrophie était un effet secondaire direct des anciennes trithérapies, à l’époque où les possibilités thérapeutiques étaient limitées. Il s’agissait d’une mauvaise redistribution des graisses. Résultat? Certaines parties du corps fondaient, alors que d’autres s’épaississaient. Les séropositifs souffrant de lipodystrophie peuvent par exemple avoir un visage émacié, un gros ventre et des jambes fines. Cette redistribution peu harmonieuse altère nettement l’apparence… et le moral.
Les nouveaux antirétroviraux ont l'énorme avantage de ne plus provoquer de lipodystrophie. Elle n'a toutefois pas complètement disparu. Les médecins sont encore amenés à donner des molécules qui provoquent ce problème chez certains patients en échec thérapeutique par exemple.
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Arno, 30 ans Axel, 60 ans
Koen Block, membre de l’European Aids Treatment Group (EATG) et patient VIH, 45 ans & Pr Michel Moutschen, chef du Service des maladies infectieuses-médecine interne, du CHU de Liège.
Pr Stéphane De Wit, Chef de Service des Maladies Infectieuses au CHU Saint-Pierre
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