Comme d’autres cancers, le cancer de la prostate peut parfois présenter une évolution très agressive. Toutefois, dans la plupart des cas, son évolution est lente. Un délai de dix ans peut ainsi s’écouler entre l’apparition d’un premier signe, comme un taux élevé de PSA dans le sang, et la survenue des premiers symptômes réels.
Les hommes sont plus nombreux à décéder avec un cancer de la prostate que des suites de ce cancer. Une étude américaine* a ainsi montré que les hommes obtenant un score de Gleason de 6 ont, après 15 ans, un risque de 18 à 30% de décéder d’un cancer de la prostate, alors que leur risque de décéder d’une autre cause après 15 ans varie entre 25 et 59%.
En Belgique, avec 9.500 nouveaux cas par an, le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez les hommes. D’ailleurs, «passé 80 ans, la grande majorité des hommes...
Lire la suiteLes agonistes de la LHRH sont utilisés dans le cadre de l’hormonothérapie, destinée à traiter le cancer de la prostate. Objectif de ces molécules : entraver la production de te...
Lire la suiteLa thermo-ablation désigne le traitement du cancer de la prostate par des «ultrasons focalisés de haute intensité» (HIFU). Le principe: concentrer ces ondes sonores sur une p...
Lire la suiteLes études sur les liens entre alimentation et cancer de la prostate sont légion. Parmi les dernières en date: celles qui incriminent tan...
Lire la suiteLa chimiothérapie regroupe l’ensemble des médicaments dont le mécanisme d’action permet d’obtenir une destruction des cellules en cours de multip...
Lire la suiteLes causes précises du cancer de la prostate ne sont pas connues. Les études ont toutefois mis en évidence plusieurs facteurs de risque.
L’âge est le principal f...
Lire la suiteEntre l’apparition des premiers signes d’un cancer de la prostate (cellules précancéreuses) et la survenue éventuelle de métastases osseuses, un délai de vingt à trente ans peut s’...
Lire la suiteComme d’autres cancers, le cancer de la prostate peut parfois présenter une évolution très agressive. Toutefois, dans la plupart des cas, son évolution est lente. Un délai de dix a...
Lire la suiteL’hormonothérapie par des agonistes et antagonistes de la LHRH provoque un certain nombre d’effets secondaires.
Les hormones mâles, comme la testostérone, régulent un phénomène naturel de croissance et de destruction des cellules prostatiques. Lorsque ce p...
Lire la suitePr Roumeguère, spécialiste en onco-urologie à l’Hôpital Erasme
Pr Patrick Flamen, chef du service de Médecine nucléaire (Institut Jules Bordet)
Dr Antonio Renda, urologue au Grand Hôpital de Charleroi (GHdC)
Arthrose
Bronchite chronique
Cancer du poumon
Covid-19
Déficit en lipase acide lysosomale
Greffe d'organes
Hémophilie
Hypertension
Insomnie
Lymphomes
Maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI)
Mélanome
Myélome multiple
Peur du Vaccin
Sclérose en plaques
Soins de plaies