La douleur peut revêtir différentes formes chez les patients atteints de sclérose en plaques. Elle peut être:
- persistante ou fluctuante;
- localisée ou diffuse;
- isolée ou associée à des pertes de sensibilité;
- spontanée ou ne survenir qu'au contact...
La douleur peut être secondaire à la raideur, aux spasmes liés à la maladie.
Quand la douleur est liée à une mauvaise perception des sensations par le cerveau, on parle de douleur neuropathique. Elle répond habituellement très mal aux antalgiques (antidouleur) classiques comme le paracétamol et les anti-inflammatoires. L'utilisation de dérivés morphiniques (tramadol, codéine, oxycodine, fentanyl...) peut alors s'avérer nécessaire.
Pour éviter le cercle vicieux de l'accoutumance entraînant une augmentation des doses, l'utilisation de certains antiépileptiques et antidépresseurs tricycliques peut s'avérer utile. Ces médicaments semblent agir en désensibilisant les neurones de la douleur et en abaissant leur excitabilité.
Aucun de ces médicaments n'apporte une réponse universelle pour tous les patients. Par ailleurs, tous présentent des effets secondaires, variables d'une personne à l'autre. Le médecin et son patient doivent rechercher ensemble la médication et sa posologie la mieux adaptée. Il s'agit d'un travail de longue haleine.
L'objectif se limite parfois à rendre la douleur supportable plutôt qu'à la faire disparaître. Lorsque la douleur neuropathique persiste plus de 6 mois malgré un traitement adéquat, sa prise en charge peut nécessiter l'intervention d'équipes spécialisées dans le traitement de la douleur.
L’endermologie est une technique utilisée dans la lutte contre la cellulite ou pour le traitement des cicatrices. Selon une récente étude1, il semble désormais que cett...
Lire la suiteÀ l'heure actuelle, une grande partie des traitements de fond de la sclérose en plaques (SEP) sont administrés par injection. Les patients SEP concernés sont amenés à s...
Lire la suite70 personnes atteintes de sclérose en plaques (SEP) récurrente-rémittente ont participé à cette étude menée par un groupe de chercheurs argentins (1).
Pendant 2 ans,...
Lire la suiteLa fatigue est un symptôme fréquent et très invalidant de la sclérose en plaques (SEP). 75% des patients s’en plaignent (1)! Ma...
Lire la suiteFourmillements dans un membre, troubles de la vue, perte de force ou de sensibilité… S’agit-il d’une poussée inflammatoire? Quelques critères doivent être présents.
Lire la suiteLe slogan de la campagne est "I Connect, We Connect" et le hashtag de la campagne est #MSConnections. MS Connections s'attaque aux barrières sociales qui font que les per...
Lire la suiteLe Pr Souraya El Sankari (Service de neurologie, Cliniques Universitaires St-Luc) revient sur l’importance du diagnostic pour la bonne prise en charge de la sclérose en plaques.
Dr Danny Decoo, neurologue, AZ Alma
Joyce, 44 ans
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive