L’hormonothérapie par des agonistes et antagonistes de la LHRH provoque un certain nombre d’effets secondaires.
Article réalisé avec la collaboration du Pr Hendrik Van Poppel et du Dr Joyce Pennings (service d’urologie UZ Leuven)
Les hormones mâles, comme la testostérone, régulent un phénomène naturel de croissance et de destruction des cellules prostatiques. Lorsque ce processus est perturbé, on assiste au développement lent d’une tumeur.
L’hormonothérapie est utilisée pour inhiber l’effet des hormones mâles. Deux schémas sont possibles:
L’hormonothérapie s’administre par injections ou sous forme de comprimés.
L’hormonothérapie ne permet pas de guérir le cancer de la prostate. Elle permet par contre de faire régresser la tumeur, de ralentir sa croissance et de retarder ou d’atténuer ses symptômes. Pour certains hommes, l’hormonothérapie est un traitement à vie. Chez ceux qui présentent un cancer de la prostate localisé, qui ne s’est donc pas étendu en dehors de la prostate, l’hormonothérapie peut être associée à d’autres traitements, comme la radiothérapie, pendant une courte période.
Article réalisé avec la collaboration du Pr Hendrik Van Poppel et du Dr Joyce Pennings (service d’urologie UZ Leuven)
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Pr Roumeguère, spécialiste en onco-urologie à l’Hôpital Erasme
Pr Patrick Flamen, chef du service de Médecine nucléaire (Institut Jules Bordet)
Dr Antonio Renda, urologue au Grand Hôpital de Charleroi (GHdC)
Cancer de l'estomac
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