En cas d'infection au par le virus du SIDA (VIH), des examens de suivi sont effectués régulièrement. Ils permettent notamment de mesurer le taux de CD4 ainsi que la charge virale, tous deux indicateurs de la réponse au traitement. En cas d’échec thérapeutique, le médecin élabore une nouvelle ligne de traitement – nouvelle combinaison d’antirétroviraux sélectionnés en fonction des tests de résistance.
Si le traitement contre le virus du SIDA (VIH) n’est pas suivi avec assiduité, le taux de médicament dans le sang peut chuter et la réplication du virus reprendre. Le virus peut alors muter et développer une résistance à une ou plusieurs des molécules composant le traitement antiviral.
Les molécules contre lesquelles le virus du SIDA a développé des résistances deviennent alors définitivement inefficaces et doivent être remplacées. Les résistances impliquent une diminution de l'efficacité des médicaments, et compliquent le traitement ultérieur, rendant le risque d’effets secondaires plus important. Une adhérence parfaite au traitement est donc nécessaire.
Les traitements contre le virus du SIDA (VIH) peuvent avoir des effets secondaires à court et à long termes. À court terme, nausée, diarrhée, fatigue… peuvent apparaître. À long terme, ils sont encore pour la plupart mal déterminés, mais le traitement pourrait augmenter le risque de maladies cardiovasculaires, rénales ou osseuses par exemple. Ces différents risques restent néanmoins nettement moins importants que ceux liés directement au virus. Le choix judicieux du traitement permet également d’anticiper ces éventuels problèmes en fonction du profil de risque du patient.
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Arno, 30 ans Axel, 60 ans
Koen Block, membre de l’European Aids Treatment Group (EATG) et patient VIH, 45 ans & Pr Michel Moutschen, chef du Service des maladies infectieuses-médecine interne, du CHU de Liège.
Pr Stéphane De Wit, Chef de Service des Maladies Infectieuses au CHU Saint-Pierre
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