L'anxiété et la dépression augmentent l'impact des lombalgies. Parallèlement, des problèmes de dos, surtout chroniques, peuvent favoriser un terrain anxio-dépressif. Le stress accentue quant à lui la sensation de douleur.
Le tabac abîme les disques intervertébraux: il les fait vieillir plus vite et perdre de leur pouvoir amortisseur. Le tabac nuit également au cartilage et favorise l'arthrose.
Des postures, mouvements, vibrations ou charges soulevées dans le cadre d'un grand nombre d'activités professionnelles peuvent contribuer à l'apparition ou à la persistance de lombalgies.
Article réalisé avec la collaboration du Dr Jean-Pierre Brasseur (Hôpital Saint-Pierre) et de Franck Desmyttère (Ecole du dos de l'hôpital Erasme).
L'arthrose est une maladie dégénératives (naturelle) des disques et du cartilage des articulations associée à une atteinte du tissu osseux. Elle touche à peu près tout le monde. L'arthrose est très fréquente après 60 ans et atteint plus souvent les femmes que les hommes. L'arthrose lombaire, qui peut débuter très tôt, est constante après 60 ans. Il s'agit de la forme d'arthrose la plus fréquente.
Article réalisé avec la collaboration du Dr Jean-Pierre Brasseur (Hôpital Saint-Pierre) et de Franck Desmyttère (Ecole du dos de l'hôpital Erasme).
Certaines causes dites inflammatoires sont à l'origine de lombalgies chez un nombre restreint de patients. Parmi elles: la spondylarthrite ankylosante. Cette maladie inflammatoire rhumatismale atteint principalement les 15-30 ans. Elle débute le plus souvent par des douleurs lombaires chroniques, associées à une raideur, plus marquée au réveil ou durant la nuit. Contrairement à l'arthrose, les douleurs de la spondylarthrite diminuent à l'activité. Ces maladies inflammatoires rhumatismales nécessitent une prise en charge spécialisée.
Article réalisé avec la collaboration du Dr Jean-Pierre Brasseur (Hôpital Saint-Pierre) et de Franck Desmyttère (Ecole du dos de l'hôpital Erasme).
Les lombalgies peuvent être provoquées par des maladies infectieuses. C'est le cas de la spondylodiscite, qui est un abcès du disque. Autre exemple: le mal de Pott, un abcès tuberculeux de la colonne, autrefois assez fréquent.
Certains cancers ont tendance à former des métastases, c'est à dire à envoyer vers d'autres organes des cellules cancéreuses. Les cancers du sein ou de la prostate créent souvent des métastases au niveau des vertèbres. L'apparition d'une lombalgie chez quelqu'un qui souffre ou a souffert d'un de ces cancers nécessite toujours une mise au point spécifique et la recherche de métastases.
Article réalisé avec la collaboration du Dr Jean-Pierre Brasseur (Hôpital Saint-Pierre) et de Franck Desmyttère (Ecole du dos de l'hôpital Erasme).
Dans une immense majorité des cas, l'origine de la lombalgie est dite mécanique ou fonctionnelle. Il peut s'agir d'une atteinte des disques intervertébraux, des ligaments ou des muscles qui entourent la colonne. Les lombalgies peuvent également naître d'un manque de synchronisation de cet ensemble.
Un déficit de la sangle abdominale ou des muscles extenseurs, qui redressent le tronc, peut également contribuer à l'apparition de lombalgies.
Avec le temps, les muscles abdominaux ont tendance à devenir moins puissants. Une prise de poids, un accouchement, une césarienne, une opération abdominale sont autant de causes d'affaiblissement des muscles abdominaux. Pourtant, ils sont, eux aussi, fondamentaux pour le bon maintien de la colonne.
Un traumatisme dû à une chute peut provoquer une lombalgie. Chez les femmes de plus de 50 ans, la lombalgie peut être liée à l'ostéoporose (perte de résistance osseuse qui apparaît avec l'âge et prédispose aux fractures). Dans ces deux cas, traumatisme et ostéoporose, la vertèbre peut se fracturer de manière très particulière.
La fracture la plus fréquente de la vertèbre est responsable d'un tassement, provoquant une perte de hauteur de la vertèbre.
Plus le poids du corps est élevé, plus les articulations souffrent. L'absence d'une musculature suffisante, due à une trop grande maigreur, ne constitue pas davantage un facteur favorable aux articulations.
Article réalisé avec la collaboration du Dr Jean-Pierre Brasseur (Hôpital Saint-Pierre) et de Franck Desmyttère (Ecole du dos de l'hôpital Erasme).
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David, 27 ans
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Greffe d'organes
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