La quantité de cellules cancéreuses, leur agressivité et la présence ou non de symptômes indiquent s’il faut ou non traiter le myélome multiple et, le cas échéant, aident à établir une stratégie thérapeutique.
Les myélomes multiples qui n’entraînent pas de symptômes (myélomes dits «indolents») ne requièrent généralement pas de traitement mais doivent être suivis de près par les médecins.
Les patients atteints d’un myélome symptomatique sont traités.
Réalisé en collaboration avec le Pr Chantal Doyen, chef de service associée d’hématologie au CHU UCL Namur (site Godinne)
Le myélome multiple actif est évolutif et doit être traité.
Réalisé en collaboration avec le Pr Chantal Doyen, chef de service associée d’hématologie au CHU UCL Namur (site Godinne)
À ce stade, le myélome ne nécessite pas encore de traitement, mais la maladie doit être surveillée de très près. La majorité des myélomes multiples asymptomatiques évolueront en effet vers un myélome multiple symptomatique qui nécessite un traitement. Le myélome indolent peut cependant évoluer très lentement pendant des années sans nécessiter de traitement.
Réalisé en collaboration avec le Pr Chantal Doyen, chef de service associée d’hématologie au CHU UCL Namur (site Godinne)
La Gammapathie Monoclonale de Signification Indéterminée (MGUS, pour Monoclonal Gammopathy of Undetermined Significance en anglais) est un état précancéreux: à ce stade, le myélome n’envahit pas les tissus environnants et ne se propage pas à d’autres parties du corps. Il reste localisé dans la moelle osseuse.
Dans la MGUS:
La MGUS fait généralement l’objet d’une simple surveillance médicale, sans être traitée. Chez une petite proportion de patients (environ 1% de risque durant chaque année de suivi), la MGUS évoluera vers un myélome ou vers une autre maladie du sang. À l’heure actuelle, on ne peut déterminer avec précision quels patients atteints de MGUS sont susceptibles de développer un myélome. Il existe cependant des facteurs de risque qui aident à établir des pronostics: type et amplitude du pic monoclonal, résultats du test «freelite»…
Réalisé en collaboration avec le Pr Chantal Doyen, chef de service associée d’hématologie au CHU UCL Namur (site Godinne)
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La créatrice Fabienne Delvigne est à l’origine de Caring Hat. L’initiative propose des chapeaux comme alternative aux perruques et bonnets portés par exemple suite à un traitement contre le cancer.
Dr Philip Vlummens, hématologue UZ Gent
Pr Michel Delforge, chef de clinique en hématologie à l’UZ Leuven et président du Leuvens Kankerinstituut
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