Cette molécule est un anticorps monoclonal comme le trastuzumab mais qui se lie à une autre partie du récepteur HER2. Son action est donc complémentaire au trastuzumab. Il se donne par voie intraveineuse toutes les 3 semaines.
Ce médicament est à présent accessible aux patientes qui ont développé des métastases et n’ont encore reçu aucun traitement (lors de la découverte des métastases). Il se donne en combinaison avec le trastuzumab et une chimiothérapie. Le traitement est poursuivi tant qu’il est efficace. Dans cette situation, l’association augmente de façon très significative la survie des patientes. Une étude internationale a testé son efficacité chez des patientes avec un cancer précoce (traitement adjuvant) mais les résultats ne sont pas encore connus.
La toxicité cardiaque est possible comme pour le trastuzumab et nécessite la même surveillance. Mais donner ces deux anticorps en même temps n’augmente pas le risque d’endommager le cœur. Il peut aussi entraîner de la diarrhée ou une éruption cutanée ou encore des nausées et des douleurs abdominales. Le médecin surveillera via la prise de sang s’il n’y a pas de toxicité sur le foie.
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Pr Hannelore Denys, chef de clinique d’oncologie UZ Gent
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