La colonoscopie totale consiste à introduire par l'anus un tuyau flexible muni d'une caméra, permettant de voir la muqueuse du gros intestin. En plus de déceler d'éventuelles anomalies, cet examen permet de réaliser des prélèvements du côlon (biopsie) et de retirer des polypes dont la taille est inférieure à 2 ou 2,5 centimètres. On parle alors d'examen thérapeutique. Toute lésion suspecte du côlon doit en effet être prélevée puis analysée au microscope.
La colonoscopie totale nécessite une préparation plus spécifique qu'une colonoscopie partielle. Le patient devra boire, quelques jours avant l'examen, des solutions spécifiques pour nettoyer le côlon et le vider de ses selles. Dans le même but, un régime sans fibres est prescrit trois jours avant l'examen. La colonoscopie totale peut être réalisée en hôpital de jour.
La réalisation d'un colo-CT scan se pratique en insufflant de l'air par une canule placée dans l'anus. Ensuite, des images sont acquises selon le même procédé qu'un scanner. Son rendement est comparable à l'endoscopie. La sensibilité du colo-CT scan est toutefois moindre pour des lésions de moins de 5 millimètres. Il arrive que certains polypes plus petits mais qui peuvent eux aussi devenir cancéreux ne soient pas détectés via cette méthode. De plus, cette technique ne permet pas de réaliser des prélèvements ou des résections de polypes.
Elle présente toutefois l’avantage d’être plus confortable pour le patient, de ne pas nécessiter d’anesthésie et d’être indolore.
La distinction entre un kyste bénin et une tumeur maligne n’est pas toujours évidente: sur une image CT (rayons X), kystes et tumeurs peuvent sembler très similaires. Cet...
Lire la suiteCette approche repose sur l'identification de néoantigènes, des protéines spécifiques qui apparaissent lorsque des cellules normales deviennent cancéreuses à la suite de...
Lire la suiteLes oncologues parlent dans The Guardian des mesures quotidiennes simples et concrètes qu'ils prennent pour prévenir le cancer.
«Laissez ce combat aux médecins et aux chercheurs. Les patients ont surtout besoin de soutien et de réconfort», a déclaré la rédactrice en chef à VRT NWS. «Lutter contre...
Lire la suite«Les scientifiques comprennent de plus en plus que le fait de mener une vie plus malsaine n'explique qu'en partie pourquoi il y a plus de patients masculins que féminins...
Lire la suiteDr Anne Demols, gastro-entérologue et spécialiste en oncologie digestive à l’Hôpital Érasme.
Dr Luc Colemont, gastroentérologue et directeur de l’asbl Stop Darmkanker
Jacqueline, 70 ans
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive