Une fois le diagnostic établi, un bilan d'extension est réalisé afin de déterminer le stade d'évolution du cancer colorectal. Cette étape est primordiale: elle va orienter la stratégie du traitement.
Le bilan d'extension permet de préciser l'étendue d'un cancer colorectal et le stade tumoral:
Du stade tumoral dépendent les chances statistiques de survie.
Un scanner de l'abdomen, du foie et des poumons est en général pratiqué pour déterminer s'il existe ou pas des métastases. On peut le compléter par un PET-scan. Cet examen permet d'étudier le métabolisme (l'activité) corporel, par l'injection intraveineuse de glucose (sucre) marqué radioactivement. Les cellules cancéreuses ont un métabolisme élevé et ont besoin de consommer beaucoup de glucose. Cet examen permet donc, dans certains cas, de mettre en évidence une activité métabolique anormale de cellules tumorales.
Enfin, une prise de sang et un dosage sanguin de l'antigène carcino-embryonnaire (ACE ou CEA en anglais) sont également demandés. L'ACE est une protéine produite par les cellules tumorales et permet de suivre l'évolution du cancer colorectal. Il s'agit d'un marqueur tumoral sanguin.
Dans le cas des cancers du rectum, le bilan est complété par une résonance magnétique du petit bassin et/ou une échographie endorectale (échographie réalisée avec une sonde placée dans le rectum).
La distinction entre un kyste bénin et une tumeur maligne n’est pas toujours évidente: sur une image CT (rayons X), kystes et tumeurs peuvent sembler très similaires. Cet...
Lire la suiteCette approche repose sur l'identification de néoantigènes, des protéines spécifiques qui apparaissent lorsque des cellules normales deviennent cancéreuses à la suite de...
Lire la suiteLes oncologues parlent dans The Guardian des mesures quotidiennes simples et concrètes qu'ils prennent pour prévenir le cancer.
«Laissez ce combat aux médecins et aux chercheurs. Les patients ont surtout besoin de soutien et de réconfort», a déclaré la rédactrice en chef à VRT NWS. «Lutter contre...
Lire la suite«Les scientifiques comprennent de plus en plus que le fait de mener une vie plus malsaine n'explique qu'en partie pourquoi il y a plus de patients masculins que féminins...
Lire la suiteDr Anne Demols, gastro-entérologue et spécialiste en oncologie digestive à l’Hôpital Érasme.
Dr Luc Colemont, gastroentérologue et directeur de l’asbl Stop Darmkanker
Jacqueline, 70 ans
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive