Entre 5 et 10% des cancers du sein sont dus à la présence d'une anomalie génétique héréditaire: la mutation des gènes BRCA1 et BRCA2. Cette mutation génétique augmente fortement les risques de développer un cancer du sein.
Les gènes BRCA1 et BRCA2 jouent un rôle dans la réparation de l'ADN. Lorsqu'une cellule se reproduit, des erreurs peuvent apparaître dans la nouvelle chaîne ADN, erreurs normalement réparées. Mais si les gènes responsables de cette réparation sont défaillants, l'erreur peut ne pas être corrigée. La nouvelle cellule peut dès lors muter et devenir cancéreuse. Des gènes BRCA1 ou BRCA2 anormaux prédisposent donc le porteur à un plus grand risque de cancer du sein et aussi un plus grand risque de cancer de l’ovaire.
Article réalisé en collaboration avec le Dr Véronique D'Hondt et le Pr. Martine Piccart (Institut Bordet).
Article réalisé en collaboration avec le Dr Véronique D'Hondt et le Pr. Martine Piccart (Institut Bordet).
Pour soulager les symptômes (bouffées de chaleur, sécheresse vaginale) qui accompagnent la ménopause ou pour éviter certaines maladies liées à la ménopause comme l'ostéoporose, il est possible de suivre un traitement hormonal substitutif. Ce traitement consiste principalement en une prise d'oestrogènes et/ou de progestérone sous forme de pilules ou de patch et sert à compenser le déficit hormonal lié à la ménopause.
Ces traitements très controversés ont été associés à un risque accru de cancer du sein et ce particulièrement lorsqu'ils sont suivis durant une longue période (plus de 5 ans). Désormais, ces traitements ne sont plus prescrits que dans certains cas et sont moins fortement dosés afin de limiter les risques.
Article réalisé en collaboration avec le Dr Véronique D'Hondt et le Pr. Martine Piccart (Institut Bordet).
Dans la réalité, ce chiffre est malheureusement incorrect. Le cancer du sein impacte aussi leurs familles, leurs amis, leurs proches, leurs collègues… À l’occasion d’Octo...
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Lire la suitePr. Hans Wildiers, oncologue médical spécialisé dans le cancer du sein à l’UZ Leuven
Sabine Ortmans, coordinatrice du projet Raviva
Marika Csergo et Viviane Martin, diététiciennes à l’Institut Jules Bordet.
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