Pour l’instant, le dépistage du cancer colorectal commence à 50 ans. Il permet de diminuer la mortalité liée à ce cancer très fréquent.
Mais l’incidence du cancer colorectal chez les personnes jeunes semble augmenter fortement, ainsi que la mortalité, selon une étude menée dans plusieurs pays (Danemark, Canada, État-Unis, etc.).
L’incidence du cancer colorectal avant 50 ans est en augmentation.
Plusieurs organisations recommandent donc de démarrer le dépistage systématique plus tôt, à 45 ans.
Rappelons que quel que soit votre âge, si vous présentez des signes comme une alternance de diarrhée et de constipation ou du sang dans les selles, il est essentiel d’en parler à un médecin pour écarter la possibilité d’un cancer colorectal.
Source: La hausse des cancers colorectaux se confirme chez les moins de 50 ans - Medscape - 23 mai 2019.
Aujourd'hui, les patients se voient diagnostiquer un cancer de l'intestin dans les hôpitaux sans que l'on sache vraiment quels sont les sous-types de la tumeur. Depuis des années, les chercheurs de Louvain spécialisés dans le cancer de l'intestin s'efforcent de découvrir différents types de cancer de l'intestin, afin qu'à l'avenir le traitement puisse être mieux adapté au type de tumeur. Jusqu'à présent, les chercheurs du monde entier ont utilisé un modèle dans lequel ils distinguent quatre types de cancer de l'intestin.
De nouvelles recherches, codirigées par l'UZ Leuven, ont permis de découvrir deux nouveaux sous-types de tumeurs intestinales à l'aide de la toute nouvelle technologie unicellulaire. 50% des tumeurs intestinales semblent avoir des cellules de la muqueuse intestinale, comme prévu, mais les 50% restants présentent des cellules de la muqueuse modifiées qui ressemblent davantage à des cellules de la muqueuse gastrique. Ces informations fournissent de nouvelles pistes pour élucider l'origine du cancer de l'intestin. «Dans un an, le diagnostic du cancer du côlon sera radicalement différent», avancent les chercheurs.
Source: https://www.uzleuven.be/nl/nieuws/nieuwe-classificatie-darmkanker-de-maak
«Les scientifiques comprennent de plus en plus que le fait de mener une vie plus malsaine n'explique qu'en partie pourquoi il y a plus de patients masculins que féminins atteints de cancer. Les hommes semblent également désavantagés sur le plan biologique. Deux nouvelles études, publiées cette semaine dans la revue Nature, mettent le chromosome Y sous les feux de la rampe. Le chromosome sexuel que seuls les hommes possèdent semble jouer un rôle dans le développement du cancer du côlon et de la vessie».
À la demande de De Standaard, le Registre du Cancer a publié les chiffres belges. L'écart entre les sexes augmente fortement à partir de 60 ans. C'est alors que le risque de cancer chez les hommes augmente. «Nous commençons à peine à comprendre ce qui se cache derrière ce phénomène», explique Éric Van Cutsem, professeur d'oncologie à l'UZ Leuven et Président de la Fondation contre le cancer. «Le fait que les hormones sexuelles et les gènes des hommes et des femmes puissent jouer un rôle est une découverte assez récente», a-t-il déclaré à De Standaard.
Cette approche repose sur l'identification de néoantigènes, des protéines spécifiques qui apparaissent lorsque des cellules normales deviennent cancéreuses à la suite de...
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Lire la suiteDr Anne Demols, gastro-entérologue et spécialiste en oncologie digestive à l’Hôpital Érasme.
Dr Luc Colemont, gastroentérologue et directeur de l’asbl Stop Darmkanker
Jacqueline, 70 ans
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
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