Le lapatinib est un inhibiteur de tyrosine kinase. Il agit sur le récepteur HER2 mais aussi HER1, ce qui explique qu’il peut donner un peu plus d’effets secondaires. Il s’administre par voie orale tous les jours: 5 ou 6 comprimés de 250 mg sont pris en une seule fois 1 heure avant ou 1 heure après le repas. Il n’est pas permis de répartir la dose sur la journée.
Actuellement, ce traitement n’est utilisé que dans les cancers du sein HER2 positif à un stade avancé, avec métastases. Ce traitement est poursuivi tant qu’il est efficace ou qu’il ne donne pas d’effets secondaires trop importants.
Il existe un risque de toxicité cardiaque. Une surveillance par échographie est aussi nécessaire.
Ce traitement peut être toxique pour le foie et votre médecin surveillera la prise de sang. Vous devez le contacter si vos urines sont foncées ou si vos yeux sont jaunes.
La diarrhée est aussi un effet secondaire fréquent et parfois sévère nécessitant l’arrêt transitoire du traitement. En cas de diarrhée, il faut bien s’hydrater et suivre les conseils de votre médecin.
La peau peut aussi être affectée par des rougeurs ou des boutons qui sont parfois traités par antibiotique.
Des nausées, de la fatigue et des rougeurs des mains et des pieds appelées «syndrome mains/pieds», plus fréquentes avec l’association à la capécitabine (Xeloda® ) peuvent également survenir. Et très rarement, le poumon peut être touché mais cette atteinte est réversible à l’arrêt du traitement. Vous devez contacter votre médecin si vous toussez ou si vous êtes essoufflée.
Les résultats d’une nouvelle étude scientifique constituent une avancée dans l’élaboration d’un traitement adapté au stade précoce du cancer du sein HER 2 positif.
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Pr Hannelore Denys, chef de clinique d’oncologie UZ Gent
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