Plus connus sous le nom de somnifères, les hypnotiques présentent à court terme des propriétés calmantes et sédatives. Deux types d'hypnotiques sont utilisés pour traiter l'insomnie chronique: les benzodiazépines et les "z-drugs".
Ces derniers favorisent légèrement l'endormissement mais engendrent un allongement moindre de la durée du sommeil que les benzodiazépines. Le risque de dépendance est aussi moins élevé avec les "z-drugs". Attention toutefois car dans les deux cas, des effets indésirables ne sont pas exclus.
Après quelques semaines, les patients développent une tolérance à ces produits et ne bénéficient donc plus des effets de ceux-ci. De plus, des symptômes de sevrage sont fréquents à l'arrêt du traitement. Lorsque ce dernier est stoppé brutalement, une insomnie de rebond (aggravation temporaire des troubles du sommeil) peut également apparaître.
L'insomnie constitue parfois un symptôme de la dépression. Dans ce cas, on a recours aux antidépresseurs pour traiter l'origine des troubles du sommeil. Certains antidépresseurs, comme le Trazolan, ont l'avantage d'avoir un effet soporifique. D'autres au contraire provoquent plutôt de l'excitation. Comme les antidépresseurs mettent généralement deux à trois semaines avant de faire de l'effet, le médecin peut prescrire un remède permettant de retrouver le sommeil durant ce laps de temps.
La mélatonine est une hormone sécrétée naturellement par l'organisme durant la nuit, d'où son nom d'"hormone du sommeil". Elle joue un rôle dans la régulation du rythme circadien ou, en d'autres termes, de notre horloge biologique. La mélatonine existe sous une forme synthétisée et permet de soigner certains types d'insomnie.
A l'heure actuelle, on ne dispose que de peu de preuves quant aux effets sédatifs de certaines plantes. Seule la valériane bénéficie d'une attention particulière. Ainsi, son action serait comparable à celle d'une benzodiazépine à faible dose. L'avantage de la valériane est de ne présenter que très peu d'effets secondaires, en tout cas sous sa forme commercialisée.
Une température trop élevée ou trop basse dans la chambre est susceptible de perturber votre sommeil. Une température de l’air située à 18°C...
Lire la suiteLes examens réalisés à la clinique du sommeil se déroulent la nuit. Plusieurs capteurs sont placés avant que la personne ne s'endorme. Ces capteurs permettent...
Lire la suiteLes études montrent qu'environ 10% de la population souffre de véritable insomnie. Les différences de sexe et d'âge entrent en jeu dans l'apparition des troubles du sommeil.
Ains...
Lire la suiteL'anxiété et la dépression engendrent ou entretiennent souvent de l'insomnie. On estime que près d'un tiers des personnes qui se rendent dans une clinique du sommeil présente...
Lire la suiteUn température de la chambre trop élevée, des voisins bruyants ou un conjoint qui ronfle peuvent ruiner le sommeil de bien des gens. Le travail en horaire décalé ou de fréquents...
Lire la suiteL'insomnie peut être la conséquence d'une pathologie existante. Sans être exhaustif, on peut citer les problèmes gastriques, rhumatologiques, neurologiq...
Lire la suitePlus connus sous le nom de somnifères, les hypnotiques présentent à court terme des propriétés calmantes et sédatives. Deux types d'hypnotiques sont utilisés pour...
Lire la suiteArthrose
Bronchite chronique
Cancer de la prostate
Cancer du poumon
Covid-19
Covid-19 et fake news
Déficit en lipase acide lysosomale
Diabète
Gastro-enterite
Greffe d'organes
Hémophilie
Hypertension
Intolérance au lactose
Mélanome
Myélome multiple
Peur du Vaccin